- PRÉAMBULE À UNE SAGA FAMILIALE PEU COMMUNE (En Clair)

Au plus loin... ça remonte à 1765

et ces articles courent jusqu'en 2020 ! 

 

 

Une petite chanson composée par mon ami Jo AKEPSIMAS,

en l'honneur de « Papillon » ou « Parpaioun »...

C'était le nom que mon Papet avait donné à sa mule...

Vous pouvez l'arrêter en cliquant ci-dessus sur les symboles :

son.jpg
 
Pour le reste vous comprendrez ! 

 

 « Dieu a sagement agi...

En plaçant la naissance avant la mort.

Sans cela, que saurait-on de la vie ? » (Alphonse ALLAIS)

 

Marc PAIRET, 82 ans et heureux de vivre...

Il y a encore tant de choses à faire !

 

L’Histoire a toujours eu une grande importance, voire une fascination pour moi, car aussi bien dans ma vie familiale que dans ma vie professionnelle, le passé qu’on peut appeler l’histoire avec un petit « h » explique bien des choses depuis leurs origines, et peut aider à préparer l'avenir...

 

C’est pourquoi, j’ai tout naturellement utilisé comme fil d’Ariane un ordre chronologique pour rédiger cette biographie familiale que j’ai voulu sans aucune autre prétention que celle de pouvoir offrir à mes enfants les explications que j’aurais moi-même bien voulu avoir à leur âge pour comprendre certaines choses.

 

L'histoire commence en 1765, mais je ne veux pas vous embêter avec les recherches généalogiques qu'ont faites les membres de ma famille à divers reprises. 

 

Nous commencerons donc par mes grands parents... Ça remonte déjà au Second Empire. Imaginez un peu... Napoléon III venait tout juste d'être sacré Empereur lorsque Alphonse FLEURY, mon Grand-Père maternel est né, c'était en 1852 !

 

Il y a longtemps que je souhaitais écrire cette biographie pour nos enfants. Nous les avons tellement ballotés de-ci et de-là dans leur jeunesse au fil de mes changements professionnels, qu’ils sont aujourd'hui bien incapables de se définir, si ce n'est comme des « Citoyens du monde, open minded ».

 

Cela dit, ce qu'ils ont vécu a certainement été plus formateur par l'exemple que tout ce que l'on aurait pu essayer de leur inculquer... Tout compte fait, je les laisse juges de la chance qu'ils ont eu et que fort heureusement ils semblent tous avoir su ou pu saisir !

 

Jamais, au grand jamais, je n'aurais voulu dupliquer ce qui s'était passé entre mon père et moi, et ce bras de fer permanent avec Papa qui aurait souhaité me faire faire ce que, lui, n'avait pas fait lui-même.

 

Le fait est que nous n'avions ni le même tempérament, ni les mêmes motivations !

 

En ce qui me concerne, ma petite enfance a été marquée par quelques pierres blanches dont certaines n'ont été décryptées par ma marraine que lorsque je l'ai interrogé - j'avais déjà la trentaine - puis d'autres bien plus tard, au fil du temps et d'autres encore m'ont sauté aux yeux lors de choix que j'ai dû faire dans ma vie professionnelle...

 

Et je pense y être parvenu dans ma quatre-vingtième année !... Après avoir entamé une analyse que je n'étais jamais arrivé à faire tout seul, avec l'aide bienveillante d'une psychothérapeute qui m'a donné envie de la faire parce que j'avais acquis une entière confiance en elle.

 

En effet, pour sa première expérience professionnelle, tout de suite à la fin de ses études, elle avait choisi de consacrer une année à une ONG cultuelle qui lui proposait une mission protestante...

 

Saisissant une opportunité, elle s'était proposé d'accompagner, en Sibérie, le renouveau théologique et les bouleversements entraînés par le retour à la foi de l'église orthodoxe auprès de nombreux autochtones, que 70 ans de communisme avaient quasi totalement coupé des pratiques religieuses.

 

C'est dire qu'il n'est jamais trop tard pour bien faire !  

 

Je dois avouer que lorsqu'avec ma petite tribu, nous sommes retournés dans la région parisienne en 1991, à Saint-Lambert-des-Bois, ce beau petit village situé au sud de Versailles, tout au fond de la vallée de Chevreuse, là où se trouve l'abbaye de Port-Royal-des-Champs, si chère à PASCAL (je veux parler de Blaise!) et foyer du jansénisme, après avoir subis 11 déménagements en 13 ans tout au long de leur adolescence, mes enfants s'étaient quelque peu rebellés à l'annonce du 12ème qui leur avait fait déclarer « qu'ils en avaient marre de changer de copains tous les ans et que, maintenant, ils ne bougeraient plus ! ».

 

C'est donc moi, depuis, qui ai bougé, eux sont restés sagement à Saint-Lambert jusqu'à ma retraite...

 

Ironie du sort, c'était sans s'apercevoir que ce petit village était complètement paumé au fin fond de la forêt des Yvelines sans presque aucun moyen de locomotion!... Pas facile, facile pour des ados. Mais ce fût leur choix et ils en ont fait leur affaire.

 

Contrairement à moi qui puis dire aujourd’hui que je suis un « Gavot Provençal », ou Martine qui est clairement une « Ch’timi du Pas de Calais », eux, sont devenus comme je le disais, des « Citoyens du monde », sans attache particulière.

 

Au moins, nos petits enfants n’auront aucun mal à tenir compte de ce qui va suivre pour s’identifier eux-mêmes s’ils le souhaitent un jour !

 

J’avais sous la main de nombreuses anecdotes, documents et souvenirs que j’avais collectés au fil des jours et des déménagements, et quelques petites « Madeleines de Proust », mais comme nombre d’entre nous, je n’avais jamais pris la peine de mettre tout le contenu de ces boites à chaussures dans l’ordre, et surtout de rassembler les pièces du puzzle !

 

C'est pas facile-facile à rédiger correctement ! Mais voilà, je pense que c'est chose faite en partie ! Et là, je souhaite adresser un grand merci aux plus anciens de la famille dont Éliane MOINE, une cousine paternel, et Gaston FLEURY, un cousin maternel pour tous les éclaircissements et corrections qu'ils ont bien voulu m'apporter ou me signaler, heureusement à temps ! En 2022, après l'épidémie COVID, l'un et l'autre nous ont quitté !

 

Vous qui me lisez, il vous reste la charge de me signaler également si ce qui est rapporté ici est bien la vérité vraie telle que vous l'avez vous-mêmes vécue, car j'avoue avoir douté quelquefois quant à certaines dates ou certains faits et je vous encourage, et vous en remercie de tout mon cœur de le faire si vous le pouvez, si vous le voulez...

 

Dans ce qui suit, j’ose espérer qu’on y verra un peu plus clair. C'est quelque peu confidentiel, et quelquefois même narcissique, mais je vais en faire mon affaire avec ma psy, alors n'hésitez surtout pas à me faire vos commentaires de préférence sur mon adresse mèl : marc@pairet.org.

 

« Les à peu prés, sont la fiente de l'esprit. » prétendait Alphonse ALLAIS !

 

Cela dit, j'ai une réticence viscérale quant à ces réseaux sociaux du style « Facebook », « Instagram » ou « Twitter » sans parler de « Tiktok » sur lesquels certains de nos contemporains étalent sans aucune pudeur tout et n'importe quoi, quant à leur vie privée, ce qu'ils sont et ce qu'ils pensent, sans se douter une seule seconde qu'il est très difficile, voire impossible, après un certain temps, de faire supprimer ce qu'ils ont osé écrire lorsque c'est parti dans les limbes du net, avec les risques évidents de cataloguer une personne définitivement et à son insu et lui porter un grave préjudice en portant ainsi atteinte à sa vie privée.

 

C'est pourquoi j'ai présenté cette Saga sur un site sécurisé (Cocorico ! au lieu d'utiliser Google... pourquoi n'utiliseriez-vous pas « Qwant », le moteur de recherche Franco-Allemand qui est garanti sans aucun traçage et qui fonctionne tout aussi bien que Google mais n'enrichit pas pour autant les Grandes Oreilles Américaines, ces « GAFA » qui se gavent et refusent d'ailleurs de payer leurs impôts dans les pays où elles sévissent ?...)

 

J'ai confiance en vous qui me lisez et à qui je n'ai pas hésité à donner accès aux articles traitant de ma « SAGA FAMILIALE ».

 

Mais la plupart (sauf les N° 5, N° 7, N° 9 et 10), sont verrouillés par un mot de passe pour sauvegarder confidentialité et pudeur.

 

Si vous vouliez vraiment en savoir plus, vous pouvez toujours me le demander.

 

Je pourrais vous fournir plus d'informations quant à la suite de cette SAGA que j'ai rédigée en dix articles, pas moins, et où, en plus de mon cursus professionnel, et ce que fut ma vie depuis mon retour du service militaire, j'aborde carrément des sujets intimes qu'à mon âge je n'ai plus aucune raison de garder pour moi tout seul.

 

J'ai appris à croire en l'exemple et en la transmission et ne voudrais pas en priver ceux que j'aime pour les aider à se comprendre eux-mêmes et à avancer plus vite et plus sereinement dans leur vie.

 

C'est que je sais maintenant qu'avec la plupart d'entre vous, je peux rire ou pleurer, car après la lecture de ce qui suit, vous ne pourrez plus vous permettre de juger, car, comme moi-même, vous ne voudrez plus juger, mais simplement « Aimer »...

 

Vous me comprendrez quand je vous dirai que la route est dure. Vous pourrez me reprendre peut-être quand je semble tout compliquer, et pour moi et pour les autres.

 

Vous m'apprendrez à écouter les signes des autres et à m'entendre dans le silence de ma propre vie. Pour vivre, sachez que je voudrais tout simplement vous regarder vivre, sourire et pleurer, croire et aimer.

 

Ce serait pour moi la meilleure des récompenses. Savoir unir les mains et les cœurs pour nous aider à construire un monde meilleur que nous voulons tous, un vrai monde d'amour, sans douleur et sans haine.

 

Quel programme, quelle utopie, me direz-vous !

 

Je ne le pense pas. En tous cas, même à mon âge, je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour faire avancer les choses dans le sens que je pense bon et je n'ai pas peur de le dire autour de moi !

 

Peut-être l'avez-vous déjà relevé dans ma signature enregistrée que je fais toujours suivre de deux ou trois petites formules anodines qui sont un peu le fil conducteur que je me suis imposé depuis longtemps !

 

« Soyez de ceux qui construisent l’avenir ! » (Jean BERNARD fondateur de l’Asso. ouvrière des compagnons du Devoir)

 

« Au demeurant, mes Frères, soyez dans la joie, travaillez à votre perfectionnement, encouragez-vous, soyez bien d’accord, vivez en paix ; et le Dieu d’amour et de paix sera avec vous » (2nd Épitre aux Corinthiens 13-11)

 

« Seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu'ils peuvent changer le monde y parviennent ! » (Henry Dunant, cofondateur des YMCA et fondateur de la CROIX-ROUGE)

 

C'est un peu comme l'utopie du « colibri » de Pierre Rabhi (qui nous a hélas quitté en 2021)... 

 

Colibri.jpg

 

Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt.

 

Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre.

 

Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu.

 

Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! »

 

Et le colibri répondit : « Je le sais, mais je fais ma part !... »

 

Dans mon pays natal et montagneux, un jour où j'avais fait une grosse bêtise, à savoir que, pris de pitié, j'avais ouvert la cage où mon Grand-Père enfermait les escargots qu'il ramassait dans la vigne en les faisant dégorger avec du fenouil, pour les nettoyer et leur donner bon goût.

 

Ils étaient tous repartis dare-dare dans les vignes.

 

Et mon Papet, au lieu de m'infliger la rouste que j'aurais bien méritée, s'est contenté de me prendre par la main, puis il m'a entraîné tout en haut de sa vigne. Et là, il m'a dit : 

 

« Si tu regrettes ce que tu viens de faire, et bien cries que la vie est méchante… Vas-y hurle-le ! », mais la montagne, ce jour-là, n'a fait que me répondre une bonne demi-douzaine de fois « Chante, chante, chante… »...

 

Alors mon Papet m'a mis en main un panier en m'enjoignant de ne redescendre qu'après avoir récupéré tous les escargots qui boulotaient les bourgeons de sa vigne - (cf. mon article à ce propos IN VINO VERITAS).

 

Allez vaï, c'est resté profondément gravé dans ma mémoire, et ça a eu bien plus de portée que les effets éphémères d'une rouste !

 

Bien entendu, chaque fois que je me suis laissé aller à une confidence, sachez que cela a été mûrement réfléchi et ne reflète que mon propre ressenti. Il est probable que ce ne le soit pas tout à fait de la part des personnes dont je parle.

 

Mais si c'est le cas, je vous en prie, n'hésitez pas à me reprendre si quelque chose ne vous semblait pas être exactement ce qui s'est réellement passé... Je suis prêt à revoir ma position et ne voudrais blesser personne par des jugements dont je me défie, vous l'avez compris, car je ne me permets plus de juger habituellement, mais simplement d'aimer comme dit plus haut, même s'il m'en coûte... Et il m'en a souvent coûté !

 

Voici donc ce que l’on peut dire de la famille de Marc et Jane-Nelcy.

 

Au début de l’année 2013, après avoir accompagné dans sa dernière demeure Jacques BERENGIER, un ami qui fût pour moi comme un Frère et un modèle de joie de vivre, j'ai fait miennes certaines des réflexions qu'il avait partagées et commentées avec moi, voire les confidences qu'il m'avait faites quelques jours avant sa mort.

 

Il était allé jusqu'à me donner le fond de sa pensée quand à ce que fût sa vie, son propre départ, auquel, sentant la maladie (un cancer du pancréas, réputé irrémédiable) gagner inexorablement la bataille qu'il essayait de mener contre elle par le mental et le « Qi Gong » qu'il m'enseignait depuis cinq ans, il avait mûrement réfléchi, sagement, sereinement, sans concession ni apitoiement.

 

Il m'avait précisé que ses obsèques devraient être joyeuses en fixant même la musique dont il souhaitait être accompagné et les toasts qu'il nous faudrait porter lorsque nous nous réunirions « joyeusement » autour de sa dépouille - il y tenait - ce jour-là, sur le parvis et dans la petite église de Camaret qui n'arriverait probablement pas à contenir tous ses copains !

 

À mon retour, j'ai fait part à Martine de mon désarroi quant aux vicissitudes de la vie, lui confiant mes propres réflexions.

 

Un sage anonyme (j'ai retrouvé cette citation dans de nombreux textes, et l'avais recopié à toutes fins utiles...) a dit un jour :

 

- Et oui !

- Tout ce qui s'en va revient.
- Travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent.
- Aime comme si tu n'avais jamais été blessé.
- Danse comme si personne ne te regardait.
- Chante comme si personne ne t'écoutait.
- Vis comme si le Ciel était sur la Terre.

 

Et, il y a quelques jours, en lisant la préface du dernier livre que Jean d'ORMESSON venait de publier quant à sa propre biographie qu'il avait souhaité rédiger lui-même, Martine s'est exclamé qu'elle avait enfin trouvé le texte de l’épitaphe qu'elle voyait en ce qui me concerne et qu’elle a gentiment qualifiée, à l'instar de Jean d'ORMESSON, « d'Épitaphe du Ravi de la Crèche »... Voilà sa trouvaille :

 

« Ce que j'ai aimé le plus au monde, 

je crois bien que c'était la vie. »

 

Enchaînant par la citation de Jean d’ORMESSON, je cite : « La mienne d'abord, bien sûr : je n'étais pas un Saint. À la différence de l'Ecclésiaste et de tant de poètes et de philosophes positivement consternés d'être sortis du néant pour être jetés parmi nous, je me réjouissais d'être là. »

 

Montesquieu de son coté a écrit mieux que je n'aurais pu le faire « Je m'éveille le matin avec une joie secrète, je vois la lumière avec une espèce de ravissement. Tout le reste du jour, je suis content. »

 

Moi aussi, je suis heureux. J'aime beaucoup les matins où tout nous semble possible, le soleil, et la lumière qui est si belle. Et les soirs, avec leurs secrets.

 

Et les nuits aussi. Après les surprises et l’excitation du jour, je m’enfonce dans l’absence avec une silencieuse allégresse. J'aime beaucoup dormir, et courir toutes sortes d’aventures; d'ailleurs, j'ai toujours dormi profondément comme un bébé ! Et j'aime me réveiller et songer à la nouvelle aventure qui m'attend.

 

Ne sachant trop qui remercier de cette succession de bienfaits qui me tombent dessus comme ça, pour rien, à ma grande surprise, sans la moindre raison, (quoique...) je les accueille du moins avec bonne volonté et avec une gratitude qui ne sait trop où s'employer.

 

Mais depuis quelques années, à force de réflexion et d'échanges, j'ai enfin découvert la vraie nature de ces bienfaits. On en reparle, si vous voulez ou alors allez directement chercher la solution en cliquant ici...

 

Je me trouve plutôt mieux dans ce monde-ci, qui a des hauts et des bas, que nulle part ailleurs, même si beaucoup de choses peuvent et doivent évoluer et être améliorées.

 

Parodiant Jean d'ORMESSON, toujours, je me permets de citer la suite de son raisonnement : « Il y a dans cette attitude quelque chose d'audacieux : elle n'est pas répandue.

 

Le bonheur d'être au monde que j'éprouve avec tant de violence n'est pas très bien vu et j'occupe sur l'échiquier une case un peu délaissée où les autres hésitent à se laisser surprendre.

 

Ce n'est pas de bon ton.

Ce n'est pas comme il faut.

À gros bouillons bien bruyants, ils pleurnichent leur angoisse et leur déréliction.

 

Et moi, je tiens le rôle du benêt, du Ravi de la Crèche, et pour un peu du salaud... puisque je suis heureux... Il y a du mal dans ce monde, le sang y coule, des mères cherchent leurs enfants au milieu des décombres, l'homme va peut-être disparaître, victime de son propre génie, et il n'en finit pas de souffrir.

 

Est-ce que je l'ignore ?

  

Je suis plutôt porté au rire et à dire oui qu'aux larmes et à dire non, plutôt à la louange et à l'émerveillement qu'à la dérision ou à l'imprécation.

 

J’ai toujours été une exception. Quelle chance ! Il y a toujours avantage à être un peu invraisemblable. » 

 

Alors maintenant vous pouvez aller voir les neuf tranches de vie qui suivent bien que ce soit tous des articles protégés par un même mot de passe, le patronyme de ma maman que, forcément, si vous êtes un proche, vous connaissez (Exception faite pour les N° 5, concernant le système INTERMARCHÉ, N° 7 concernant ma mission en ex-URSS, et N° 9 quant à ma retraite, car je les ai pensé très instructifs pour nos lecteurs lambdas et que je n'ai plus aucune raison de maintenir confidentiels) :

 

1 - « LES ORIGINES DE LA FAMILLE... » de mai 1852 à 1945

2 - « DES PREMIERS PAS AU SERVICE MILITAIRE... » de mai 1945 à 1965

3 - « L’APPRENTISSAGE DE LA VIE DU RAVI DE LA CRÈCHE… » de 1965 à 1973

4 - « LA VIE A DEUX… ENFIN C’EST-CE QU’ON CROYAIT ! » de 1974 à 1987

5 - « TOUS POUR UN, UN POUR TOUS - LE SYSTÈME INTERMARCHÉ » (En Clair) de 1985 à 1990

6 - « ENFIN ADULTES ! Euhh… C’EST-CE QU’ON PENSAIT ... » de 1988 à 2003

7 - « MON AVENTURE SOVIÉTIQUE ("Saison 1") » (en clair) de 1990 à 1994

8 - « MON AVENTURE SOVIÉTIQUE ("Saison 2") » de 1994 à 2002

Bonus - « MARTINE DECOUVRE LE PAYS DES "LENDEMAINS QUI CHANTENT" » (en Clair) en Janvier 1998

9 - « RETOUR AUX SOURCES » (En Clair) de 2003 à 2018

10 - « L'ÉPITAPHE DU RAVI DE LA CRECHE » (En Clair mais en cours de rédaction) de 2019 à... Pourvu que ça dure encore un peu ! J'aimerais tant pouvoir assister au démarrage d'ITER qui risque fort de chambouler l'avenir de notre civilisation... dans le bon sens. Et, rêvez un peu... une énergie électrique qui serait quasiment gratuite, hormis l'investissement ! C'est que je me suis fixé comme objectif l'exemple d'Edgar MAURIN...

 

Ils contiennent tous les aléas d’une vie professionnelle quelque peu éclectique, mais bien remplie !

  

NB : Après Marc et Jane-Nelcy, il y a eu cinq autres enfants PAIRET... Anne, Luc, Lydie, Matthieu et François, j'espère bien donner à Martine l'envie de rédiger la saga de sa propre famille...

 

François PAIRET, mon plus jeune frère, m'avait scanné et envoyé un arbre généalogique de la famille PAIRET qui couvre la période de 1765 à 1975, que lui avait rédigé « Tonton Raymond », le frère de Papa, et qu'il avait conservé... J'ai mis beaucoup de temps à le décrypter, mais il n'intéresserait pas mes lecteurs hormis les membres de ma famille (et je ne l'ai donc publié que dans l'article n° 1 sur ses origines...)

 


 

 



31/07/2024
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