Aparté : MARTINE découvre le Pays des lendemains qui chantent ! (en clair)
Janvier 1998 ...
Les armoiries de la Russie du Tsar redevenues contemporaines
(L'aigle à deux têtes avec en blason St Georges terrassant le dragon).
Un petit air de là-bas pour vous mettre dans l'ambiance...
C'est le « Joyeux Anniversaire » Russe !
(cf. les paroles en français en fin d'article) :
Гармонь - это не история, а душа русского человека !
(L’harmonie n’est pas une histoire, mais c’est l’âme Russe !)
Vous pouvezle démarrer ou l'arrêter en cliquant ci-dessus sur :
« Dieu a sagement agi...
en plaçant la naissance avant la mort.
Sans cela, que saurait-on de la vie ? » (Alphonse ALLAIS)
RAPPEL : l’Histoire a toujours eu une grande importance, voire une fascination pour moi, car aussi bien dans ma vie professionnelle que dans ma vie familiale le passé qu’on peut appeler l’histoire avec un petit « h » explique bien des choses depuis leurs origines.
Utilisant toujours comme fil d’Ariane un ordre chronologique, j’ai rédigé cette tranche de vie du mois de janvier 1998 en poursuivant une aventure professionnelle peu banale débutée en Union Soviétique, et qui se poursuivra jusqu’en 2002.
Ce faisant, je n’ai aucune autre prétention que celle d’enfin donner à mes enfants les explications que j’aurais moi-même bien voulu avoir à leur âge pour comprendre certaines choses. Profitez-en, c'est peu banal pour nous occidentaux, mais tout ce qui a plus de normal, pour un Russe !
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Après les articles portant sur :
- « PRÉAMBULE A UNE SAGA FAMILIALE » couvrant la période 1745 à 2020
1 - « LES ORIGINES DE LA FAMILLE… » de 1845 à 1945
2 - « DES PREMIERS PAS, AU SERVICE MILITAIRE... » de mai 1945 à 1965
3 - « L’APPRENTISSAGE DE LA VIE DU RAVI DE LA CRÈCHE… » de 1965 à 1973
4 - « LA VIE A DEUX… ENFIN C’EST-CE QU’ON CROYAIT ! » de 1974 à 1987
5 - « TOUS POUR UN, UN POUR TOUS - LE SYSTÈME INTERMARCHÉ » de 1985 à 1990
6 - « ENFIN ADULTES! Euh… C’EST-CE QU’ON PENSAIT... » de 1988 à 2003
7 - « MON AVENTURE SOVIÉTIQUE – Saison 1 » de 1990 à 1994
8 - « MON AVENTURE SOVIÉTIQUE – Saison 2 » de 1994 à 2002
Voici une petite anecdote récréative (Elle est lisible en clair sans mot de passe, et vous êtes dessus actuellement...) :
« MARTINE DÉCOUVRE LE PAYS DES LENDEMAINS QUI CHANTENT » en janvier 1998 !
Elle sera enfin suivi de :
9 - « RETOUR AUX SOURCES » de 2002 à 2019... Espérant que ça dure encore un peu !
10 - « ÉPITAPHE DU RAVI DE LA CRÈCHE » de 2020 à... plus tard, nous verrons bien, puisque je compte bien emboiter le pas d'Edgar MORIN !
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En janvier 1998 avec notre « PDG et gérante RÉAL-LOG », qui n’avait jamais mis les pieds en Russie, nous avons essayé de joindre l’utile à l’agréable pour lui faire découvrir le théâtre de ses exploits comptables mais par l'autre bout de la lorgnette.
L’une de nos deux Secrétaires du bureau de Moscou, Natacha KOMISAROVA nous avait invité, Martine et moi, à titre personnel, avec Alexandre VITTINI, notre « VSNE » chef de poste en formation, à son mariage avec Igor.
J’avais rencontré à plusieurs reprises Igor, un grand gars sympathique, un géant de plus de 2 m qui avait ouvert à Moscou une petite boutique pour vendre des T-shirts et des accessoires aux couleurs des cinq équipes de football myhiques de Moscou.
Je ne peux m'empêcher de les rappeler car Igor avait des petites étoiles dans les yeux quand il les évoquait... Il y avait , le « ЦСКА ou Club sportif central de l'Armée Rouge », le « Dynamo, le club des flics autrement dit du KGB », le « Lokomotiv ou club des cheminots », le « Torpedo, le club des métallos » et le « Spartak, le club des syndicalistes, le plus populaire ».
Pour ce premier voyage de notre « PDG RÉAL-LOG », en l’occurrence Martine, j’avais essayé de mettre les petits plats dans les grands en organisant une semaine de vraies vacances pour lui faire découvrir le théâtre de nos exploits, d'abord à Moscou, puis en l'emmenant au mariage de Natacha qui devait se célébrer à Orel, dans la Russie profonde, au grand sud de Moscou, pratiquement sur la frontière avec l’Ukraine, et j’avais prévu de lui faire terminer en apothéose en lui faisant découvrir ensuite Saint-Pétersbourg avant un retour à Paris, fin janvier.
Nous sommes donc arrivés à l’aéroport de Moscou-Cheremetièvo avec un vol de la KLM et des billets qui nous avaient été offerts grâce aux « milles » accumulés depuis trois ans.
Notre Directeur du bureau de Moscou, Sergueï VOTCHILINE, devait nous y accueillir avec la Lada de service RÉAL-LOG...
L’aventure, pour elle, avait en fait très mal commencé, à l’image des imprévus qu’il nous faut toujours prévoir dans ce pays !
L'aéroport de Moscou-Cheremetièvo à notre arrivée...
À l’arrivée à Moscou, sous la neige bien sûr, pour mettre Martine dans l’ambiance, j'avais passé le poste de police avec mon passeport consulaire sans problème, mais les policiers russes ont bloqué Martine qui me suivait.
De l’autre côté du poste de police, je ne comprenais pas ce qui se passait et je voyais ma Martine complètement décomposée, bien sûr, car les fonctionnaires Russes ne sont pas bavards et lorsqu'ils le sont, c'est en Russe et pas en français !
Enfin, je suis arrivé à comprendre l’incident en faisant un petit scandale grâce à mon sésame, le passeport consulaire du ministère de l'intérieur Russe, et on a bien voulu m’expliquer le problème.
Une policière de l'air et des frontières en uniforme kaki de commandante galonnée, style capo du KGB, qui surveillait le jeune fonctionnaire de la Police qui vérifiait les passeports dans son kiosque, a essayé d’expliquer à Martine en Russe bien sûr, que son visa n’était pas valable... et qu’il fallait qu’elle la suive au commissariat !…
J’ai aussitôt sorti un billet de 20 dollars, réflexe qu'il fallait avoir en pareille circonstance, mais je suis tombé sur une fonctionnaire pure et dure... elle ne voulait rien savoir, ne voulait pas de mes dollars, et exigeait qu’on paye une taxe de 100 roubles afin de lui faire établir un visa de transit provisoire…
À ma grande surprise, alors que j’avais fait sa demande de visa en même temps que la mienne comme je le faisais d’habitude à l’ambassade de Russie à Paris où l’on commençait à me connaître, le visa de Martine portait effectivement la date du lendemain de notre arrivée, allez savoir pourquoi...
Il n’était donc pas question de la laisser passer même à l’avance de quelques heures… Et là, ma pauvre Martine a découvert les arcanes de l’administration Russe !
Il a fallu, seule, suive la policière à l’autre bout de l’aéroport à travers des couloirs sombres éclairés parcimonieusement d’ampoules de 20 watts pour trouver le bureau des finances de l’aéroport afin de changer très officiellement un billet non pas de vingt dollars américains mais de cent dollars en roubles au taux « officiel » pour qu’elle obtienne les roubles nécessaires au visa temporaire ! Car à l'époque on n'avait jamais un rouble en poche, encore moins en arrivant à Moscou.
Derrière la vitre de la douane, Sergueï assistait à la scène, sans rien comprendre de ce qui se passait, complètement impuissant ! Et même son grade prestigieux de Colonel de l’Armée Rouge ne l’autorisait pas à passer la porte pour s’informer !
Bref, au bout de deux heures, Martine avait son visa temporaire et nous avons enfin pu être accueillis par Sergueï qui gentiment avait prévu un repas en famille, chez lui, qui habitait la banlieue nord… Et nous sommes arrivés enfin chez Sergueï et Ludmilla où les enfants nous attendaient depuis deux heures avec impatience !
La petite famille de Sergueï et Ludmilla
Il a tenu à nous déposer ensuite en voiture dans l’appartement communautaire de RÉAL-LOG qui se situait à l’autre bout de la ville dans la banlieue sud, au Métro Oktiabrskaya.
Après une bonne nuit dans cet ex-appartement communautaire que découvrait Martine, meublé du pur style 1950, skaï-formica, le lendemain, un dimanche, Sergueï nous avait préparé la surprise de nous emmener sous la neige à Zagorsk, la ville sacrée située à 70 Km au nord de Moscou.
Entrée du monastère de Zagorsk
Martine, Marc et Ludmilla VOTCHILINE à Zagorsk
Ludmilla, Sergueï VOTCHILINE et Martine
Le même Monastère, mais en été !
Le lendemain, lundi, j’ai emmené Martine visiter Moscou avec le métro…
Je lui avais demandé de regarder par terre, et de ne jamais sourire, car, à cette époque, les Russes dans le métro n’avait guère envie de sourire, ni me parler français trop fort non plus, parce qu’alors, une nuée de pauvres enfants gitans se seraient rués sur nous pour mendier quelques roubles et essayer de nous dérober quelque chose…
C’était une façon comme une autre de ne pas risquer d’être importunés !
Je crois qu’elle s’en souviendra encore longtemps de cette balade dans Moscou sous la neige, les pieds dans la gadoue de neige salée sur les trottoirs chaque fois qu’on quittait le métro, au bras d'un Marc, vêtu de sa parka soviétique, de sa chapka et de ses guêtres en feutre pour la neige !
Nous avons, bien sûr, visité la place Rouge, la Cathédrale Saint-Basile-le-Bienheureux, le Goum, puis le musée des sciences polytechniques non loin de la Loubianka, ce triste bâtiment exécré de tous les Russes.
La place Rouge et Saint Basile sous la neige...
Le Goum et sa fastueuse galerie
Le Musée des sciences et le jouroù nous y sommes passé
était exposé la Capsule Vostok 1, de Youri Gagarine lancée le 12/04/61.
Et Spoutnick 2 lancé le 3/11/57 avec la chienne « Laïka »,
Dans la salle consacrée à l’Espace.
Et bien entendu, nous avons également visité le Kremlin et le manège…
Et admiré la Moskva trimballer des glaçons !
La Lubianka (la statue de Lénine n’y est plus, juste un rocher !
Le surlendemain, équipés de nos billets pour Orel nous sommes allés, avec le métro, prendre le train en début d’après-midi à la gare Kurskaya, la plus grande et la plus moderne de la ville.
Le métro Kurskaya et la gare de Kursk qui dessert le sud et l’Ukraine
Il fallait à peu près 6 h de train pour arriver à Orel où Natacha nous attendait sur le quai avec Thibault ROUGON (le jeune agriculteur VSNE de Barcelonnette qui était tombé amoureux de notre autre secrétaire, Inna), pour nous conduire au seul hôtel potable de la ville, à l’époque, où nous avons retrouvé Alexandre VITTINI arrivé la veille…
Orel est une ville de 330000 habitants fondée en tant que forteresse en 1566, située à 400 Km au sud de Moscou au confluent du fleuve Oka et de la rivière Orlik. Elle a vu naître Ivan Tourgueniev.
Ce fût un important nœud ferroviaire où se croisaient le chemin de fer venant de Moscou à Koursk et Riga, et était équipée d’un important atelier d’entretien des trains.
Si je rapporte cela, c’est parce que la maman de Natacha travaillait précisément comme responsable de la cantine des cheminots d’Orel qui était située au milieu des voies de triage, et c’est là qu’avait lieu le repas de mariage.
Après une bonne nuit, Thibault et sa dulcinée Inna, la meilleure copine de Natacha, sont venus nous chercher pour nous emmener à l’appartement de Natacha, où devait se dérouler le traditionnel enlèvement de la jeune fiancée par son futur mari où elle avait organisé un apéritif pour accueillir sa famille et ses amis.
Nous sommes reçus dans l’appartement de la maman de Natacha...
Puis nous sommes ensuite allés à pieds pour la mairie d’Orel où nous avons assisté à une cérémonie touchante car, faute de bénédiction dans une église, il faut bien donner du lustre à un mariage.
Alors nous avons pu constater tous les efforts du maire pour rendre cet instant impérissable dans la mémoire des jeunes mariés et de leurs invités… avec congratulations des autorités, serrements de mains et... musique de Mendelssohn !
Et immédiatement après… séance des photos de mariage traditionnelles, d’abord devant le monument aux morts (à Orel c’est un monument équipé d’un char d’assaut « T70 » de la guerre 39-45 – car les combats, ici ont été particulièrement acharnés avec les allemands),
Et notre Natacha tient le coup avec sa robe blanche très décolletée par -8°C…
Puis, plus romantique, au pavillon des poètes dans le jardin public « Pervomaisky » d’Orel sur les bords de l’Oka ou là, traditionnellement, est offert, en plein air par un froid de -8° C, le « Шампанское вино », à savoir le vin de champagne (Georgien) voire la vodka à volonté au goulot des bouteilles, à tous les invités, voisins et ceux qui passent par-là en mémoire d’Ivan Tourgueniev et des jeunes mariés !
Natacha et Igor au pavillon du poète… il fait toujours -8°C !...
Il faut savoir en effet que le romancier et poète Russe Ivan Tourgueniev, est né à Orel en 1818, et a été lié à la France pendant trente-huit ans. Son premier séjour à Paris date de 1845 et en 1874, il achète « Les Frênes », une propriété à Bougival, où il se fait construire, à côté de sa Villa Directoire un chalet à la façon des « Datchas » de sa Russie natale. Il y résidera pendant les mois d’été et d’automne, de 1875 jusqu’à sa mort en 1883.
C’esten effet là, à Bougival, qu’il a écrit et achevé certaines de ses œuvres maîtresses, comme son dernier roman Terres vierges et ses Poèmes en prose, ainsi qu’en 1876 la traduction russe de La légende de Saint Julien l’Hospitalier de Gustave Flaubert qui était l'un des écrivains français du célèbre « Groupe des Cinq » qui comprenait Flaubert, Daudet, Zola, Goncourt et Tourgueniev, bien sûr.
Et c’est aussi pourquoi, à Orel, se trouve une école réputée partout en Russie quant à l’enseignement du Français.
C’était par cette école, précisément, qu’étaient passées Natacha et Inna pour parler un si bon français, sans accent et sans avoir jamais mis les pieds en France !
Mais pour nous, le clou du mariage, a été le repas offert dans la cantine des cheminots où nous sommes tous allés à pieds sous la neige du pavillon des poètes... jusqu’au beau milieu des voies de l'immense gare de triage où se trouvait cette cantine.
Quelle ne fut pas notre surprise d'ailleurs de rencontrer sur notre chemin vers la cantine une rame de l’Orient-Express bien de chez nous, amenée là pour être restaurée par des artisans ébénistes Russes spécialisés dans ce style de restauration !
Une rame de l’Orient-Express en cours de restauration à Orel pour la SNCF
Le lendemain, après une nuit trés alcoolisée dirons-nous, retour sur Moscou où nous allons prendre le train pour Saint-Pétersbourg.
Depuis cette épopée a été mise en route une ligne TGV mais elle n’existait pas encore. On prenait le train la veille, et il arrivait tranquillement, au petit jour, après un parcours très lent, mais reposant en wagon couchette !
Gare Leningradsky Vokzal à Moscou
Et le train de nuit pour St Pétersbourg (1998)
Et nous arrivons à Saint-Pétersbourg où nous allons à pieds sous la neige, jusqu’à l’appartement RÉAL-LOG, rue Marat, à 300m seulement de la gare !
Là c’est la stupeur pour Martine… Fallait voir sa tête en découvrant l'appartement communautaire spartiate que nous louions dans un vieil immeuble non restauré, mais avec un hall d'entrée Haussmanien, meublé à l'identique de celui de Moscou, dans le style Skaï-formica 1950, avec en plus un chauffe-eau en forme d'énorme samovar au dessus d'une baignoire empire !
Le temps de passer un petit coup de fil à Tatiana, l’une de nos interprètes qui est toute heureuse de nous accompagner pour lui faire découvrir sa ville, nous allons déjeuner au petit restaurant italien où nous avions l'habitude d'aller, au coin de la rue, pour échapper au Bortch-au-chou-aigre et et aux Pelmenis-poulet.
L’après-midi, je fais découvrir à Martine le magnifique Musée de l’Hermitage, non sans lui faire parcourir auparavant d’un bout à l’autre... 4 Km... la fameuse Nievsky Prospekt en compagnie de Tatiana, pour déboucher sur le palais de l’État-Major et la colonne d’Alexandre !
Martine et Tatiana devant l’État-Major et la colonne d’Alexandre
Nous profitons ensuite d’une visite guidée du Musée de l’Hermitage et ses innombrables collections dont celle des impressionnistes français.
Le Musée de l'Hermitage.
Et Martine découvre une toute petite partie de l'énorme collection des impressionnistes français (que vous pouvez utilement apercevoir dans la vidéo en français de près d'une demi-heure qui suit !)
A propos des impressionnistes : https://youtu.be/c0edne8BwuY
Puis plein les yeux de ces merveilles, nous allons rendre visite à une tante de Natacha que l’on avait rencontrée à Orel et qui nous avait invité à la rencontrer dans son appartement communautaire typique avec entrée et cuisine commune comportant une batterie de cuisinières et de machines à laver et la seule pièce qu’elle occupait, à savoir sa chambre-salon où nous avons diné à la Russe « en famille » !
Chez la tante de Natacha à St Pétersbourg
Et le lendemain, Tatiana nous met dans le train de banlieue pour que nous allions visiter, seuls, le palais de l’Impératrice Catherine situé à 25 Km de Saint Pétersbourg, au village de Pouchkine, connu aussi sous le nom de « Tsarskoye Selo - le Village du Tsar ».
Il a été construit par l’architecte Français Jean-Baptiste LEBLOND en 1723 pour Pierre le Grand à son retour de Versailles où il avait été reçu en grandes pompes en 1717 (cf. mon article sur les Saintiers Auvergnats!), mais il n’en profita que 2 ans puisqu’il est mort en 1725…
Et c’est sa fille Élisabeth Petrovna qui en profita en accédant au trône en 1740 non sans l’avoir fait agrandir par son architecte, Bartolomeo RASTRELLI, qui ajouta alors un étage au palais et le prolongea par deux ailes avancées complétées par deux bastions dont l’un constitue l’église du palais.
Et le jour suivant, nous retrouvons avec plaisir l'ambiance de l'Airbus de la KLM à l'aéroport Pulkovo de Saint-Petersbourg.
BIBLIOGRAPHIE :
Traduction en français des paroles du « Joyeux Anniversaire » Russe donné en tête d'article :
Les piétons courent maladroitement, mouillés par les flaques d'eau.
Pendant que l'eau se repend comme un fleuve,
Et personne ne comprend pourquoi je suis aussi heureux...
En un jour aussi pourri !
Je joue du Garmon (un accordéon Russe à anche libre - cf. photo ci-dessous),
Pendant que tous me regardent.
Quel dommage que l'anniversaire ne se fête seulement qu'une seule fois par an.
Soudainement arrive un Mage,
Dans un hélicoptère bleu...
Il me montre un film...
Et me souhaite un JOYEUX ANNIVERSAIRE !...
Et peut-être m'offre 500 glaces.
Je joue du Garmon,
Pendant que tous me regardent.
Quel dommage que l'anniversaire ne se fête seulement qu'une seule fois par an.
Quel dommage que l'anniversaire ne se fête seulement qu'une seule fois par an.
Un Garmon (Accordéon Russe avec son anche libre).