Bienvenue, sur le site de l'Amelier !

 

Pour vous mettre dans l'ambiance, voici la chanson de l'Amelié*

de Georges BRASSENS en Provençal, traduite et interprétée par…

notre inénarrable André CHIRON de Monteux (ville voisine de Carpentras).

Pour l'écouter ou l'arrêter, cliquez ci-dessus sur les symboles suivants :

son.jpg

 

En parcourant ce site, chaque fois que vous apercevrez un lien hypertexte de couleur bleue, vous pouvez cliquer dessus pour avoir une explication complémentaire et revenir sur le site en cliquant sur l’onglet en haut de votre écran. - Par exemple, si vous cliquez ici maintenant, vous pourrez visionner la totalité des articles disponibles classés dans la marge à gauche sous 13 rubriques/onglets et vous ferez votre choix d'après leur titre, s'il vous inspire (toutefois commencez par lire les « Avertissements utiles ») !

 

Sachez que, grâce aux commentaires que nous apportent nos lecteurs, nous enrichissons en permanence les articles existants, en corrigeons certains à la lumière d'avis éclairés, et, en plus, ça nous donne des idées pour en rédiger de nouveaux dans le seul but d'éveiller la curiosité et de... transmettre à mon tour.

 

N'hésitez donc pas à revenir sur ce site; il s'y passe souvent quelque chose de nouveau... grâce à vous, entre autres ! Et Merci, à mes nombreux contributeurs...


 

Vos commentaires et questions sont donc, non seulement les bienvenus, mais vivement sollicités à la condition qu'ils demeurent courtois, et constructifs mais, par éthique, nous vous remercions de n'aborder que des sujets factuels sans introduire aucune polémique, ça ne fait pas avancer les choses !

 

Evelyne Beatrice Hall, une écrivaine britannique, dans son ouvrage consacré à Voltaire, lui a attribué en 1906 le devenu célèbre « I disapprove of what you say, but I will defend to the death your right to say it ».

 

Contrairement à l'idée répandue, c'est bien elle, et non Voltaire, qui aurait dit « Je ne suis pas de votre avis, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous puissiez l'exprimer » ... Ce concept convient tout à fait à notre démarche rebelle et libre !

    

N'hésitez donc pas à nous poser des questions si quelque chose ne vous paraissait pas clair ou si vous vouliez en savoir plus. Par exemple :

  

Vitruve 75 x 75.jpg De nombreux lecteurs entrent sur ce site pour retrouver des explications que je leur ai données lors de la visite historique et compagnonnique de l'abbaye Chartreuse de Villeneuve-Lez-Avignon.

 

En cliquant ici, ils pourront retrouver ce qu'ils souhaitent et que je n'ai pu (ou n'ai pas eu le temps de...!) leur donner sur le Nombre d'Or, au cours de la visite de l’abbaye.

 

In vino 75 x 75.jpg De la même façon, ceux auxquels j'ai fourni mon vin « Charmilles » me demandent souvent comment il est vinifié et assemblé, voire l'histoire du vin. Alors, j'ai rédigé trois articles dans lesquels tout cela est expliqué clairement et j'ai essayé de satisfaire aussi mes visiteurs anglo-saxons en rédigeant en bilingue anglo-français comment il faut déguster un côtes-du-Rhône pour leur donner la traduction exacte des termes du jargon des vignerons.

 

N'hésitez surtout pas à nous faire part de vos réactions. Pour ce faire, il suffit de cliquer sur « commentaires » en bas de chaque article. Il est toujours intéressant d'avoir des avis extérieurs même, et surtout, s'ils ne vont pas dans le sens du nôtre. 

 

Et, en souvenir de Guy WESMAËL, un Frère d'outre-Quiévrain qui m'a beaucoup transmis, je laisse le dernier mot à un grand homme dont j'ai appris par cœur l'admirable poème, pour me le réciter avant de me lever tous les matins, en prenant mon temps pour le savourer !

 

C'est une chose étrange à la fin que le monde;
Un jour, je m'en irai sans en avoir tout dit.
Ces moments de bonheur, ces midis d'incendie,
La nuit immense et noire aux déchirures blondes,
 

Rien n'est si précieux peut-être qu'on le croit.
D'autres viennent. Ils ont le cœur que j'ai moi-même,
Ils savent toucher l'herbe et dire je vous aime,
Et rêver dans le soir où s'éteignent les voix.

Il y aura toujours un couple frémissant,
Pour qui, ce matin-là, sera l'aube première.
Il y aura toujours l'eau, le vent, la lumière.
Rien ne passe après tout si ce n'est le passant.

C'est une chose au fond que je ne puis comprendre:
Cette peur de mourir que les gens ont chez eux.
Comme si ce n'était pas assez merveilleux
Que le ciel un moment nous ait paru si tendre...

Malgré tout je vous dis que cette vie fut telle
Qu'à qui voudra m'entendre à qui je parle ici
N'ayant plus sur la lèvre un seul mot que merci
Je dirai malgré tout que cette vie fut belle !

  

Louis Aragon

Extrait de « Les yeux et la mémoire » (1954), Chant II : « Que la vie en vaut la peine! » 

 


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