À MES VIEUX AMIS, DONT LE CERVEAU EST TOUJOURS JEUNE !
La mine de Noyelles-Godault...
La musique est pour moi une drogue douce !
Alors voici l'un des morceaux de Mozart qui m'aiderait
à passer de l'autre côté en toute sérénité !
Pour l'écouter ou l'arrêter il suffit de cliquer sur :
J'ai commencé très durement ma vie professionnelle comme mineur à la laverie de la société minière Peñarroya sur le carreau de son site de Noyelles-Godault dans le Pas-de-Calais...
En 1961, une nouvelle usine à zinc est construite sur le territoire de Courcelles-lès-Lens avec un procédé de pyrométallurgie innovant, « l’Imperial Smelting Process » (ISP). Les fours de l'ancien procédé ont été arrêtés progressivement, et la fonderie de Noyelles-Godault est devenu l'une des plus performantes au monde au moment même où je venais d’y être embauché !
Je cite cela tout simplement parce que, n'ayant pas voulu terminer mon parcours d'ingénieur à l'école des Mines de Saint-Etienne comme voulait m'y contraindre mon père, qui ne rêvait pour son fils que de lui voir prendre la même filière que lui, j’ai dû choisir une autre option !
L'école des Mines de Saint Etienne...
En effet, devenu enfin adulte et responsable de ma vie après la mort prématurée de maman, j'ai quitté la maison, j’ai aussi quitté l'école, j'ai abandonné mes études car je pensais en savoir suffisamment et j'ai voulu vivre ma vie comme je l'entendais, moi !
Inutile de dire que ce fût assez difficile, au début, mais j'y suis arrivé puisqu'après avoir fait mon service militaire pendant 28 mois comme c'était obligatoire à l'époque, commué en service civique international parce que je n'avais aucune envie d'aller me faire massacrer en Algérie pour tabasser de pauvres bougres qui ne m'avaient rien fait de mal, on appelait ce genre de bonhomme que j'étais alors un « objecteur de conscience ».
J'ai tenu bon, et j'ai fait mon temps légal comme infirmier dans le dispensaire des Frères de Foucault à TAZERT, un ermitage perdu dans le Haut-Atlas Marocain, où m'a accueilli le père Christophe LECLERC, un moine franciscain remarquable (et le Frère du-déjà-célèbre Edouard LECLERC de Landerneau).
Sur la route du Tizi N'Test... l'Ermitage de Tazert...
À mon retour du Maroc, grâce à Francis MOUCAN, le beau-père de mon meilleur copain, Jean-Paul DECARD, le notaire de Manosque, qui me voyait me débattre pour mon indépendance, je suis arrivé à me faire embaucher, moi, un petit gavot provençal, comme chauffeur-livreur « à la chine » dans une fromagerie qui fabriquait ce qui allait devenir le fameux fromage « Caprice des Dieux » en Haute-Marne, tout là-haut, dans les Vosges. Quelle aubaine !
Et me voilà parti sur les routes d'Alsace et de Franche-Comté avec un gros camion frigorifique Saurer de 20 tonnes pour vendre mes meules de gruyère et mes fromages...
En suivant mon instinct, et en faisant confiance à Jean-Noël BONGRAIN, ce fermier génial inventeur d'un fromage qui allait être cité 20 ans plus tard comme un modèle marketing dans les écoles de commerce, et qui m’avait tendu la perche en me faisant confiance, j'en suis sorti douze ans après comme... Directeur Commercial, avant de pouvoir créer, en partie grâce à lui, avec Francis DALLE, un cousin que l'aventure avait tenté, ma propre entreprise, ce dont je rêvais.
C'était, et ce fût le hasard d'une formation administrative que m'avait offert mon employeur, le Groupe BONGRAIN, que j'avais souhaité faire dans le domaine de la construction navale.
L’entreprise a rapidement évolué.
De « LION-PLAISANCE » à la Grande Motte, un simple chantier de revendeur de voiliers, elle s’était transformé en constructeur par fusion-absorption avec un petit « chantier naval SMAP Neptune », (SMAP = Société Méridionale d'Applications Plastiques) près d’Avignon qui souhaitait fabriquer autre chose que des canoë-kayaks et des barques ou canots à moteur.
Et après avoir construit et vendu quelques milliers de voiliers habitables de 6,25m à 16m, cet atelier était devenu en quelques années le 4ème chantier naval de plaisance Français, et l'un des premiers à concevoir la fabrication de bateaux habitables en tissus de verre et polyester en grande série, qui faisait travailler 235 ouvriers dans les années 1980.
Le Trident 80, le voilier fleuron de NEPTUNE et le dériveur NEPTUNE 99 !
L'avènement du gouvernement socialiste en 1981 qui avait imposé aux chantiers navals l'application de la TVA à 20% à laquelle, jusque-là, ils avaient échappé car nos bateaux qui pouvaient naviguer la plupart du temps en dehors des eaux territoriales en avaient été jusque là exonérés (c'en était la vraie raison en réalité, mais la gauche cherchait des sous...).
Cette décision politique a conduit cet atelier florissant et en bonne santé, à déposer le bilan dans des conditions lamentables, car nos bateaux valaient trop cher lorsque le gouvernement, pousuivant ses réformes avait interdit le crédit à la consommation pour ce genre de bien... Pratiquement 90% de nos acheteurs se servaient du crédit pour les acheter !
Hélas, pécuniairement parlant, pour mon cousin Francis, mon épouse Martine qui en était la comptable et moi-même en passant, mais surtout pour nos ouvriers dont plus de la moitié étaient des harkis de Saint-Laurent-des-Arbres, le chantier a disparu et a été cannibalisé par l'administration judiciaire qui était précisément chargée de le sauver sans autre forme de procès, et sans que cela ne donne aucun bouton aux politiques du Gard à l'époque plus précoccupés par la fermeture des mines de charbon d'Alès…
De nos jours, la disparition de 240 emplois aurait été un mini-drame national dont auraient parlé tous les médias... D'autres temps, d'autres mœurs !
Mais la chance inouïe que j'aie eu tout au long de ma carrière professionnelle a été de toujours rencontrer des êtres extraordinaires au moment où j'en avais le plus besoin.
À commencer par ma compagne, Martine à qui j'ai fait vivre une vie qu'elle n'avait assurément pas imaginée ainsi - ça, je le reconnais humblement - en me sentant quelque mauvaise conscience après-coup, car j'ai donné égoïstement à ma vie professionnelle une tournure éclectique qui l'a pas mal perturbée, mais elle s'y est toujours adapté et m'a suivi et soutenu quoi qu'il advienne !
Elle me dit souvent qu'avec le recul du temps, ça ne se passerait certainement plus du tout comme ça maintenant... Elle a mûri et s'est endurcie ! Oui, je l'avoue, car elle m'a toujours laissé faire ce que j'avais en tête, et j'ai donc toujours foncé sans me rendre compte qu'on (la famille!) n'était pas toujours d'accord quant à mes choix.
Et j’ai pu rebondir encore une fois, malgré quelques difficultés matérielles pour ma famille - vous vous en doutez - en consacrant mes talents à la direction logistique de la franchise des quincailleries CATENA à Cahors puis la direction logistique du distributeur INTERMARCHÉ qui commençait à se développer sur toute la France, en participant à la construction et en les mettant en route les uns après les autres, ces immenses entrepôts de distribution qui gèrent les approvisionnements des supermarchés des « Mousquetaires de la distribution INTERMARCHÉ » que l’on peut apercevoir un peu partout aux nœuds d’autoroutes.
Les Mousquetaires de la Ditribution et l'une des 27 bases Intermarché...
J'ai ainsi fait avec ma famille le tour de France incluant 12 déménagements en 13 ans, pour atterrir dans la région de Versailles où les enfants ont posé les valises « parce qu'ils en avaient marre de devoir changer de copains tous les ans » !
Et c’est grâce à mon passage chez ce distributeur que j’ai pu ensuite donner l’idée à la Communauté Européenne de me confier la direction de l’opération TACIS (Assistance Technique à la Communauté des États Indépendants de l'Union Soviétique après la chute du mur de Berlin) que j’ai dirigé pendant douze ans grâce, encore une fois, à un copain formidable qui était l'un des patrons du cabinet VERITAS à Paris qui m'a décroché le contrat à Bruxelles !
Photo mythique... Marc presque tout seul sur la place rouge en 1990
Après moulte péripéties et la sensation de vivre une page d'histoire, devenu trop âgé pour poursuivre mon parcours de fonctionnaire Européen, il m’a bien fallu me résoudre à prendre ma retraite après un passage de deux ans comme responsable des services commerciaux externalisés de l'OCDE à Paris.
Depuis, retourné dans ma Provence, enfin pas tout à fait puisque nous avons élu domicile à Avignon, à défaut des Alpes-de-Haute-Provence où la famille n'a pas voulu me suivre au moment de la retraite pour ce 13ème déménagement, je n’ai jamais arrêté de me consacrer bénévolement à des organismes qui sortent de l'ordinaire (Cf. l'Association « L’UN EST L’AUTRE », La Franc-Maçonnerie, L’Église Protestante Unie, Le Centre YMCA ou encore La Chartreuse...) qui avaient besoin de mes talents et qui correspondaient à l’idée que je me faisais de « la vraie vie du retraité actif » et plein d’énergie que je m’imaginais être, euh..., que j'étais et que je suis toujours !
Le Général de GAULLE a dit que « la vieillesse c’est un naufrage ! », moi je préfère dire que « vieillir, c'est chiant. J'aurais pu dire : vieillir, c'est désolant, c'est insupportable, c'est douloureux, c'est horrible, c'est déprimant, c'est mortel. Mais j'ai préféré chiant, parce que c'est un adjectif vigoureux qui ne fait pas triste ».
Vieillir donc, c'est chiant parce qu'on ne sait pas quand ça a commencé et l'on sait encore moins quand ça finira. Non, non, ce n'est pas vrai qu'on vieillit dès notre naissance.
On a été longtemps si frais, si jeune, si plein de fougue. On était bien dans sa peau. On se sentait conquérant, invulnérable. Avec toute la vie devant soi.
Même à cinquante ans, c'était encore très bien lorsque je suis parti la fleur au fusil en ex-Union-Soviétique.
Même à soixante-dix. Si, si, je vous assure, j'étais (et je suis) encore plein d'énergie, de projets, de désirs, de flamme.
Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps, j'ai vu dans le regard des jeunes, des hommes et des femmes dans la force de l'âge qui m'entourent, qu'ils ne me considéraient plus tout à fait comme un des leurs, même apparenté, même à la marge.
J'ai lu dans leurs yeux qu'ils n'auraient plus jamais d'indulgence à mon égard. Qu'ils seraient polis, déférents, louangeurs, certes, mais impitoyables...
Sans m'en rendre compte, j'étais entré dans ce que j'appellerais « l'apartheid de l'âge ».
Le plus terrible à supporter est venu des formules de politesse de mes correspondants... « Avec respect », « En hommage respectueux », « Avec mes sentiments très respectueux ».
Les salauds !
Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo Mont-Blanc ou en cliquant sur « envoyer » leurs messages pleins de respect ?
Les cons !
Et du « cher Monsieur » par çi ou pire « cher confrère » par là, long et solennel comme une citation à l'Ordre des Arts et des Lettres, qui vous fiche dix ans de plus!
Petite anecdote... : Un jour, il y a pas longtemps, dans l'autobus qui me ramenait d'Avignon chez moi, c'était la première fois, une jeune fille s'est levée pour me donner sa place. J'en étais tout étonné.
En la priant de se rasseoir, pris d'un doute, je lui ai demandé si je faisais vraiment vieux, si je lui étais apparu fatigué.
- « Euh, non, non, pas du tout, a-t-elle répondu, embarrassée. J'ai pensé que… »
- Et moi, aussitôt : « Vous pensiez que… ? »
- Je pensais, je ne sais pas, je ne sais plus, que ça vous ferait plaisir de vous asseoir.
- Parce que j'ai des cheveux blancs ?
- Non ce n’est pas ça, je vous ai vu debout et comme vous êtes plus âgé que moi, ça été un réflexe, je me suis levée…
- Je parais beaucoup, beaucoup plus âgé que vous ?
- Non, oui, enfin un peu, mais ce n'est pas une question d'âge…
- Une question de quoi, alors ?
- Je ne sais pas, une question de politesse, enfin je crois… »
J'ai arrêté de la taquiner, on arrivait à Villeneuve, je l’ai remerciée de son geste empathique et comme nous descendions tous deux à l'arrêt « Office de Tourisme », je l’ai accompagnée jusque sur la place de la mairie pour lui offrir un verre.
Lutter contre le vieillissement c'est, dans la mesure du possible, ne renoncer à rien. Ni au travail, ni aux voyages, ni aux spectacles, ni aux livres, ni à la gourmandise, ni à l'amour, ni à la sexualité, ni au rêve.
Rêver, c'est se souvenir tant qu'à faire, des heures exquises. C'est penser aux belles rencontres que nous avons pu faire et celles qui nous attendent encore.
C'est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l'utopie.
La musique est un puissant excitant du rêve. La musique est même pour moi une drogue douce qui a souvent ponctué mon parcours.
En fait, j'aimerais mourir sereinement, rêveur, dans un fauteuil ou dans mon lit, entouré des êtres qui me sont les plus chers en écoutant l'un de ces morceaux :
Soit l'adagio du Concerto n° 23 en « la-majeur » de MOZART...
Soit, du même MOZART, l'andante de son Concerto n° 21 en « ut-majeur »,
Ou encore « la Sarabande » de HAENDEL; Euh, non, ça, c'est un peu triste. Tout juste bon pour accompagner la caisse dans le four crématoire pour faire sentir que c'est bien fini avant que tous mes invités de dernière heure et mes copains sablent le champagne en l'honneur de la vie merveilleuse qu'ils m'ont permis de vivre !
Ou enfin la fugue de Jean-Sébastien BACH « au clavier bien tempéré » en do majeur,
... Ces musiques au bout desquelles se révéleront, à mes yeux ou mes oreilles, même pas étonnés, les paysages sublimes de « l'au-delà » s'il existe, car je fais, moi-aussi, le pari de PASCAL !
Mais PASCAL, MOZART, HAENDEL, BACH et moi ne sommes pas pressés. Nous allons prendre notre temps.
Avec l'âge le temps passe, soit trop vite,... soit trop lentement.
Nous ignorons à combien se monte encore notre capital. En années ? En mois ? En jours ?...
Non, il ne faut pas considérer le temps qui nous reste comme un capital, mais comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération.
Après nous, le déluge ?... Non, car malgré l’orage que nous prédisent les bouleversements du monde dans lequel on vit et auxquels nous sommes en train d’assister avec sidération, je suis sûr que nos enfants sauront s’y prendre pour préserver l’idéal de liberté que j'espère avoir pu leur transmettre, en tous cas je m'y suis toujours efforcé par l'exemple, ne serait-ce qu'en les imageant avec les petites citations que je me plais à faire suivre ma signature.
J’ai encore tant de choses à voir, et à faire ! …
Ah, encore quelque chose. Connaissez-vous l'ANOSOGNOSIE ?
L’ANOSOGNOGIE est un trouble neuropsychologique qui fait qu'un patient atteint d'une maladie ou d'un handicap ne semble pas avoir conscience de sa condition.
À l'inverse du déni, qui est un mécanisme de défense psychologique « normal », cette méconnaissance par l’individu de sa maladie est pathologique et peut refléter une atteinte de certaines aires cérébrales.
Elle est présente particulièrement dans certains types d'AVC (Accidents Vasculaires Cérébraux), dans le syndrome de KORSAKOFF, durant l'évolution de certaines maladies neurodégénératives ou encore dans certains troubles psychiatriques tels que la psychose et elle peut notamment causer l'ignorance de certaines conditions graves comme une cécité ou une paralysie.
Alors n'hésitez pas à lire le document joint en cliquant ici, c'est instructif !
Cela dit, en fait de conclusion, j’ai longtemps admiré quelques-uns de mes ainés, par exemple, le parcours des gens qui m'ont aidé à certains moments de ma vie, ou à ceux, fantasmés, que j'ai voulu imiter, que ce soit Jacques de BOURBON-BUSSET et « sa Louve » Laurence que j'assimile à « ma cane (canne ?) », Martine, ou la philosophie de vie d’un Jean d’ORMESSON mais ces deux hommes sont tous deux partis trop vite bien avant moi.
Alors je me suis trouvé d’autres modèles depuis, dont Edgar MORIN, mon ainé… de 104 ans en 2025, car ils ont tous su garder précieusement leur humanisme, défendu leur éthique et leurs idées, les peaufiner toujours plus, auprès des quantités de gens plus qualifiés qu’eux qu’ils ont côtoyés, et par-là ont tous pu s’améliorer encore !
Et oui !
Tout ce qui s'en va revient.
Travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent.
Aime comme si tu n'avais jamais été blessé.
Danse comme si personne ne te regardait.
Chante comme si personne ne t'écoutait.
Vis comme si le Ciel était sur la Terre.
Martine avec son intuition et sa clairvoyance habituelles ne s’y est pas trompé en me décernant « l’Épitaphe du Ravi de la Crèche » non sans quelques reproches quant à ce qu'elle a entraîné pour ceux qui m'entouraient...
« Ce que j'ai aimé le plus au monde,
Je crois bien que c'était la vie. »
Il en est ainsi, à propos du Concerto n° 23 en « la-majeur » de MOZART dont il est question ci-dessus... Le voici en 8 minutes :
Ou à propos de l'Andante du Concerto n° 21 en « ut-majeur » de MOZART dont il est question juste après... Le voici au piano en 4 minutes :
Ou encore « la Sarabande » de HAENDEL en 3 minutes...
Et enfin la fugue de Jean-Sébastien BACH dite « au clavier bien tempéré » en do majeur en 2 minutes et demi …
Marc PAIRET
Courriel : marc@pairet.org
« Soyez de ceux qui construisent l’avenir ! » (Jean BERNARD fondateur de l’Association Ouvrière des Compagnons du Devoir)
« Au demeurant, mes Frères, soyez dans la joie, travaillez à votre perfectionnement, encouragez-vous, soyez bien d’accord, vivez en paix ; et le Dieu d’amour et de paix sera avec vous » (2nd Épitre aux Corinthiens 13-11)
« Seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu'ils peuvent changer le monde y parviennent » (Henry Dunant, cofondateur des YMCA et fondateur de la CROIX-ROUGE)
BIBLIOGRAPHIE :
Quant à l'ANOSOGNOSIE, Consulter le site de l'APHP :
https://www.aphp.fr/contenu/maladie-dalzheimer-la-rencontre-du-pr-bruno-dubois