LES RENTIERS DE LA RÉPUBLIQUE

 

A fin juillet 2021 j'ai reçu comme de nombreux autres internautes un appel de l'Association « CONTRIBUABLES ASSOCIÉS » que dirige un avocat, Eudes BAUFRETON qui attire notre attention sur un certain nombre d'anomalies dans notre système Français.

 

Je viens de passer pratiquement 15 jours à vérifier l'exactitude des informations qu'il apporte dans cet appel ! Il ne s'agit pas, hélas, d'une énième « FAKE NEWS » car tout ce qu'il évoque est bel et bien la triste vérité.

 

Aussi, participant de ma démarche libre et rebelle, et profitant de l'audience que m'ont honoré ces derniers mois plus de 100 000 lecteurs, j'ai pensé attirer à mon tour votre attention sur ces dérives inacceptables et scandaleuses dont nos politiques se gardent bien d'évoquer en France, ce merveilleux pays que je voudrais sincèrement voir se réformer rapidement !

 

Voici l'appel que je me contente de reproduire fidèlement :

 

CEUX QUI PAYENT ET CEUX QUI TOUCHENT

 

Alors que tant de Français souffrent du Covid économico-destructeur et voient leurs revenus fondre ou disparaître, les rentiers de la République, eux, continuent de traire la bête sans scrupule.

 

Pas le moindre acte de solidarité de leur part envers la France qui souffre. Rien.

 

Ils verrouillent le système de la rente et des privilèges à leur seul profit. Vivent aux crochets de l’État et pompent l’argent des contribuables.

 

Et ils sont des milliers. Des centaines de milliers. Des millions, que dis-je.

 

C’est un système tout entier qui vit sur la bête, une pieuvre géante dont les ramifications sont infinies !

 

Je vous assure, ça donne le tournis. C’est vertigineux.

 

Les rentiers de la République sont partout. Une véritable fourmilière.

 

Ça grouille. Ça prolifère. Ça frétille.

 

Indéboulonnables, ils s’accumulent décennie après décennie. Et sont payés toute leur vie, jusqu’à leur dernier souffle :

 

QUOI QU’IL ARRIVE (ils n’ont de compte à rendre à personne) et surtout, QUOI QU’IL EN COÛTE !

 

Ce système est tentaculaire. S’étend à 360°. Nous sommes cernés !

 

La France, écrasée sous leur poids et le nombre des privilégiés, en crève. L’AVC menace.

 

Aujourd’hui, je vous envoie du lourd. S’il vous plaît, prenez le temps de lire cette lettre jusqu’au bout. C’en est presque un devoir citoyen.

 

VOUS DEVEZ SAVOIR…

 

J’ai un plan de bataille. Qui commence aujourd’hui avec une action coup de poing. Je vous veux tous derrière moi pour lutter contre la République des privilégiés ! Avant qu’ils n’aient notre peau. Et celui de notre France.

 

Car la situation est intenable et l’injustice insupportable.

 

Prenez les préfets sans affectation payés entre 5 000 € à 12 000 € net à rester chez eux sans rien faire. Ça fait des années que ça dure...

 

Sur les 257 membres du corps préfectoral, la moitié est sans affectation.

 

Et il suffit d’avoir été préfet 5 ans seulement pour toucher une retraite de 4 500 €. Alors qu’il faut 40 ans à l’agriculteur pour toucher 953 € !

 

Cerise sur le gâteau : le salaire du préfet, c’est de l’argent de poche. Il est nourri, logé, blanchi. Il n’a aucune charge à sa charge. Puisque tout est à votre charge !

 

C’est ça, les rentiers de la République.

 

Prenez les syndicats qu’on gave de subventions publiques : 50 millions d’euros chaque année. Quel luxe, vu leur représentativité et légitimité. Et en plus ils bénéficient de 42 000 agents publics « mis à disposition ». Le tout, 100% payé par l’Etat. Par vous !

 

Et ce régime dure depuis des décennies… C’est ça, les rentiers de la République.

 

Parlons des rentiers accrochés au filon des commandes publiques. Par ce biais, l’argent de l’Etat coule à flot jusque dans le privé.

 

Prenons les ronds-points, tiens. La moitié des ronds-points de la planète sont concentrés en France. Une manne intarissable qui profite à quelques malins bien placés.

 

► Prenez certains artistes ! Eux aussi bénéficient des commandes publiques. Pensez à la soucoupe volante de Bordeaux. Un tas de ferraille… payé 750 000€.

 

Et entre deux commandes, les artistes bénéficient du très juteux régime d'indemnisation chômage des intermittents du spectacle.

 

Et qui finance ce régime ultra préférentiel ? Les salariés du privé, via les cotisations chômage qui sont prélevées sur vos salaires.

 

Là encore, c’est vous qui payez et les rentiers qui profitent ! Vous. Toujours vous.

 

Ils sont partout. Une véritable armada. Avec des garnisons dans tous les recoins. Des renforts en 3eme ligne. Des soutiens en logistique. Et des snipers dont on imagine même par l’existence !

 

Et jour après jour, ils saignent l’État et les Français. Depuis 40 ans.

 

Prenez certaines associations. Et le pactole des subventions. 27 milliards d’euros, distribués chaque année au bon vouloir des élus !

 

Clientélisme, copinage... Les politiques arrosent et les associations boivent du petit-lait. Facile d’entretenir tout ce petit monde avec l’argent des autres. Votre argent.

 

Autre rentier de la République : l’ultra-riche Comité d’entreprise de la SNCF (géré par la CGT) qui dispose de 100 millions d’euros par an : les salariés de la SNCF sont chou-chou-tés ! Et je ne vous parle même pas du comité d’entreprise d’EDF qui pèse ½ milliard d’euros. 1% de votre facture EDF va directement dans leurs poches. 

 

 

Vous trouvez ça normal vous, que les Français payent les loisirs & vacances de ces privilégiés ?

 

► Parlons des privilèges des salariés de la SNCF : Des salaires moyens supérieurs à ceux du privé, une ribambelle infinie de primes, 126 jours de repos par an pour les chauffeurs de train. 132 pour les guichetiers. Gratuité des voyages pour les salariés & retraités, leur conjoint, ascendants et enfants. Et en plus la SNCF se fait banquier pour ses ouailles et accorde même sa caution pour des prêts immobiliers !

 

Si au moins la SNCF était bénéficiaire... Mais non ! Elle accumule les dettes. Que l’Etat s’est engagé à payer à hauteur de 35 milliards d’euros.

 

C’est vous qui payez tout ça ! Pas question pour autant de remettre en cause les avantages sociaux de ces privilégiés.

 

Ces enfants gâtés de la République trouvent tout à fait normal que vous vous saignez pour eux.

 

Quelle démesure ! C’est elle qu’il faut combattre. L’excès. L’abus !

 

► Prenez les régimes de retraite de la SNCF / RATP / EDF :

 

Tenez-vous bien : la pension brute moyenne (en équivalent de carrière complète) s'élève à 3 592 € pour EDF, 2 636 € à la SNCF et 3 705 € à la RATP. Contre 1 649 € ans dans le privé.

 

Et qui finance ces retraites en or ? Vous ! À hauteur de 6,2 milliards d’euros par an.

 

 

Comme d’habitude, on prend aux uns pour financer les autres. Toujours dans le même sens.

 

Toutes ces grandes entreprises publiques sont truffées de cadres et salariés au statut ultra-privilégié.

 

Payés à vie (salaire, puis retraite garantis). Jamais sanctionnés en cas d’échec.

 

C’est ça, les rentiers de la République. C’est un système qui vit aux crochets des Français.

 

Et que se passe-t-il quand trop de ‘parasites’ vivent sur le dos de la bête ? Le contribuable en crève et la bête se meurt… C’est l’effondrement financier qui menace !

 

Nous en sommes là.

 

Le pire c’est qu’il en regorge de partout. Qu’ils prolifèrent comme le Covid en hiver.

 

► Prenez les 26 agences administratives indépendantes (AAI) : En matière de rentiers de la République, elles se posent là.

 

Leurs rémunérations sont royales ! 18 618 € / mois pour le président de l’Autorité de sûreté nucléaire. 17 516 € pour le président de la Haute autorité de santé. 20 000 € pour le président de l’Autorité des marchés financiers. 16 683 € pour la présidence de la Commission de régulation de l’énergie. 16 250 € pour le président de l’Autorité de régulation des jeux en ligne.

 

Autorité de la concurrence, CAS, CNIL, défenseur des droits…

 

Des rentiers planqués bien au chaud dans les AAI, il y en a plein !

 

Ils pullulent. Se reproduisent. C’est un État dans l’État que personne ne contrôle.

 

Des millions de Français se serrent la ceinture, sont mis au chômage ou en faillite par le Covid. Mais les rentiers, eux, continuent de se gaver.

 

La France et les Français en crèvent. Nous devons réagir. Éveiller les consciences endormies pour faire vaciller ce système à bout de souffle. Êtes-vous prêt à me suivre ? Il y a urgence !

 

Prenez le CESE* et ses filiales locales. Dont la gestion a été épinglée par la Cour des comptes sur le temps de travail des agents, les primes, l'absentéisme des membres...

 

Les 175 membres du CESE, qui brillent par leur légendaire absentéisme, ont un salaire moyen de 4000 € net par mois. 

 

Et lorsque l’indemnité de fonction est de 1 893 €, l’indemnité pour frais de représentation s’élève à 3 786 €. Pire ! Ces frais de représentation servent d’assiette à la cotisation retraite (!!) afin d’accélérer leurs droits à la retraite !

 

Au total, ce sont 100 millions d’euros par an déboursés par les Français, qui profitent à quelques rentiers de la République. Bien planqués.

 

► Il y a aussi les comités Théodule ! À quoi ça sert ?

 

À pomper l’argent des contribuables pardi ! Et à satisfaire les lobbies & relations de pouvoir… En 2017, la facture de ces quelques 200 comités s’élevait à 23,2 millions d’euros…

 

Je vous l’ai dit : c’est un véritable cancer.

 

Les rentiers de la République font système. Se protègent. Se cooptent.

 

Endogames, ils n’ont de comptes à rendre à personne. Profitent de leurs privilèges à vie.

 

► Prenez les privilèges des anciens présidents : dont Mr Macron, âgé de seulement 43 ans, bénéficiera à vie.

 

Un ancien président dispose d’une retraite de 6000 € par mois au seul titre du quinquennat.

 

L'État prend en charge :

Deux policiers qui assurent sa protection rapprochée à vie.

Sept collaborateurs permanents.

Un appartement de fonction meublé tous frais payés avec personnel de maison.

Voiture de fonction avec chauffeur.

Et voyages gratuits sur Air France et la SNCF.

 

Franchement, vous trouvez ça normal vous ? De payer tout cela ? Alors que la France croule sous la dette et que les Français sont exsangues.

 

Coût de la protection rapprochée des Premiers Ministres ? 2,8 millions d’euros en 2019. Plus 150000 € de frais de mission.

 

Les élites qui étrillent les Français à coups d’impôts, taxes et charges devraient montrer l’exemple. Et non se comporter comme des nababs !

 

Les rentiers de la République sont partout. Vous n’imaginez pas à quel point ils sont nombreux à vivre de l’État. Ce système est tentaculaire !

 

► Prenez les médias : À quoi sert la redevance audiovisuelle que vous payez très cher ?

À l’entretien des « troupes d’occupation mentale » de l’audiovisuel public (France Télévisions, Radio France, INA...) qui reçoit 3,8 milliards d’euros par an. Voilà pourquoi le budget de Radio France dépasse, à lui seul, celui des 330 radios privées réunies.

 

La presse écrite reçoit près d’un milliard d’aides publiques par an. Et pour couronner le tout, le gouvernement a déversé 2 milliards sur le secteur des médias pour cause de Covid.

 

Je vous le dis... il y a un nombre faramineux de gens qui perçoivent des rentes de l’État.

 

Et surtout... ils vivent bien. Très, très bien.

 

► Dans le désordre, sachez que :

 

Le président des musées nationaux et du Grand Palais gagne 120 000 € par an + un « complément personnel » de 42 000 € + une part variable de 30 000 € maximum par an.

 

La présidente de Radio France perçoit un salaire de 18 500 € brut par mois.

 

Le directeur de la Société du Grand Paris perçoit 25 000 € brut par mois et une part variable pouvant aller jusqu’à 60 000 € par an.

 

Alors évidemment, ils s’accrochent à la corne d’abondance financée à la sueur du front des contribuables. Ils s’y accrochent toute leur vie ! QUOI QU’IL ARRIVE :  car les rentiers de la République sont rivés à la pompe à fric comme la moule au rocher. Indéboulonnables.

 

Un emploi de perdu, 10 de retrouvés ! Même s’ils ont des ennuis judiciaires !

 

Si vous échouez, on vous licencie ou vous déposez le bilan. Mais nos rentiers, eux, sont toujours recasés. Voire promus !

 

Le système fait corps. Ils se serrent les coudes. Se protègent. Sont intouchables.

 

► Prenez quelques exemples de recasage de politiques en détresse :

 

Sylvie Goulard qui a quitté le gouvernement pour cause d’affaire judiciaire a été aussitôt recasée par Mr. Macron à la Banque de France avec un salaire mensuel de 18640 € + indemnité de logement de 5712 € par mois.

 

Aurélien Rousseau, ancien membre du gouvernement de Mr Hollande, a été recasé à la tête de la Monnaie de Paris avec un salaire fixe de 210000 € par an et jusqu’à 47000 € de primes. Tout va bien !

 

Des recasages comme ça, il y en a des centaines ! Ils font système. S’auto-contrôlent. Et s’auto-amnistient.

 

C’est que vous financez AUSSI le train de vie de tous ces gens en France, et en Europe !

 

Avec quel argent pensez-vous que les technocrates européens partent à la retraite ? Cette année, 340 hauts fonctionnaires partent à la retraite anticipée à 50 ans avec une pension de 9 000 € par mois ! 

 

Ils partent avec 70% du dernier salaire. Et il leur suffit de 15,5 années pour valider une carrière complète !

 

Le pire, c'est qu'ils ne cotisent même pas pour leur super retraite. Pas un centime d'euro. C’’est le contribuable qui cotise pour eux ! Vous, toujours vous.

Nous sommes cernés, vous dis-je !

 

► En France, ce sont 21 600 hauts fonctionnaires qui cultivent l’entre-soi et trustent tous les postes clés de l’État. La caste... Le cœur du réacteur. Cette noblesse d’État puise abondamment dans les caisses de la République. Et ils en veulent toujours plus !

 

On les appelle les cumulards du public. Ils cumulent leurs indemnités d’élu et de fonctionnaire. En se faisant élire maire, membre exécutif départemental/régional.

 

Prenez Pierre Fond : énarque, inspecteur des Finances, il est « comptable principal » du CNES (qui construit la fusée Ariane) et gagne un salaire brut de 215 000 € par an. Un travail à plein temps, certainement très prenant.

 

Eh bien ce haut fonctionnaire mène en parallèle une carrière d’élu politique : maire de Sartrouville + président de la Communauté d'agglomération + vice-président du Conseil départemental !

 

Pensez-vous qu’il soit humainement possible de mener à bien autant de fonctions ? Pas sûr... En revanche, ça rapporte gros.

 

Les indemnités liées à ces fonctions d’élu se montent à 8434 € net /mois. Voilà qui permet à l'élu-fonctionnaire de gagner quelque 33000 € bruts /mois. 

 

Ouvrez les yeux. C’est de votre argent qu’on parle.

 

Toujours plus de rentes pour les rentiers… aux frais des Français qui se paupérisent.

 

Quelle injustice !

 

► Et vous voulez savoir le pire ? En ces temps de Covid économico-destructeur, un député UDI a récemment tenté, par un amendement, de mettre fin à ces cumuls pour raison « d'équité ». Mais le gouvernement s'y est opposé, applaudi par les parlementaires de tous bords qui verrouillent le système de la rente pour leur seul bénéfice.

 

Et devinez quoi ? Ces cumulards, une fois à la retraite, cumulent les retraites ! Retraite d’élu local, retraite d’élu régional, retraite de fonctionnaire… 

 

Pour les salariés du privé, il existe un écrêtement des pensions pour limiter le montant de la pension. Mais pour les rentiers de la République, c’est « NO LIMIT » !

 

Vous trouvez cela normal, vous ? Quelle injustice !

 

Pourquoi tant d’inégalités de traitement dans ce pays ?

 

Pourquoi ces privilégiés ont-ils un emploi garanti à vie, alors que nous souffrons de la précarité de l’emploi ? Jamais sanctionnés ! Alors que nous sommes sur des sièges éjectables.

 

Pourquoi ces privilégiés ont-ils une retraite en or massif, garantie, sans plafond, et une durée de cotisation retraite raccourcie ? Alors que nous trimons toute notre vie, sans savoir si nous aurons une retraite suffisante pour vivre dignement.

 

Et qui est-ce qui finance tous ces privilèges ? Vous, moi, nous.

 

Comment notre pays peut-il accepter cela ?

 

LES UNS TRIMENT PENDANT QUE LES AUTRES PROFITENT, ÇA SUFFIT !

 

STOP aux « deux poids, deux mesures ». Cliquez ici pour dire stop !

 

La France, embourbée à cause du Covid, est exsangue. Et les rentiers font bombance !

 

Pas le moindre geste de solidarité de leur part envers les perdants du Covid :

 

Des millions de Très Petites Entreprises, commerçants, artisans, professions libérales et indépendants se sont retrouvés avec un revenu égal à Zéro et risquent la faillite… ou ont déjà failli !

 

Des millions de salariés du secteur privé, mis en chômage partiel, ont vu leur salaire mensuel amputé de 16 %.

 

Des grands patrons français ont, par solidarité, réduit leur salaire de 25% mais du côté des hauts fonctionnaires grassement payés, rien. Pas un geste. C’est indécent.

 

Ça suffit ! Unissons nos forces et combattons privilèges indus et inégalités criantes :

-  Battons-nous pour supprimer l’emploi garanti à vie pour les fonctionnaires. Ce statut doit être réservé aux seules fonctions régaliennes

-  Battons-nous pour l’alignement du statut de la fonction publique sur celui du privé.

 

Ils se croient intouchables, mais ils ne le sont pas. La justice sociale passera !

 

La bataille sera longue. Mais nous avons un avantage :

 

La République des privilégiés est un colosse aux pieds d’argile qui ne peut que se désintégrer. Parce que la France n’en a plus les moyens ! Et que les Français s’appauvrissent.

 

À nous d’accélérer ce mouvement par une succession de combats ciblés.

 

David contre Goliath. Voilà la stratégie !

 

Aujourd’hui, vous pouvez agir de deux façons déterminantes

 

Côté tactique : commençons par rassembler les troupes et menons une action coup de poing.

 

1 - De toutes vos forces, exigez un geste de solidarité de la part des privilégiés de la République. C’est une question de justice sociale :

 

Il faut sauver les tissus conjonctifs de la France industrieuse. C’est URGENT !

 

• Demandons qu’une contribution exceptionnelle de solidarité de 16% soit prélevée en 2021 sur tous les traitements des fonctionnaires supérieurs à 5 497 €.

• Demandons à ce que le produit de cette contribution exceptionnelle soit versé au Fonds de Solidarité qui vient en aide aux TPE, commerçants, indépendants, artisans en détresse… Parce que ce sont eux, les plus touchés par la crise du Covid. Qu’ils sont à genoux. Et qu’il faut les sauver du dépôt de bilan.

 

N’attendez pas. Après le Covid, il sera trop tard. Il faut frapper aujourd’hui :

 

► Cliquez ici et renvoyez votre Appel à Contribution de Solidarité de la Fonction Publique signé auprès de l’Étude BAUFRETON à l’origine de cette pétition. Signé.

 

► L’Étude BAUFRETON ira déposer votre requête, avec celles de tous ses membres, sur le bureau Mme de MONTCHALIN, ministre de la Fonction Publique. Et lui demandera de nous recevoir.

 

2 - Ensuite, rassemblons les troupes : alertons les Français sur tout cet argent public, ingurgité à leur insu par les rentiers de la République.

 

Il est de notre devoir de leur ouvrir les yeux : EUX AUSSI financent tous ces excès, ces privilèges d’un autre temps… tous ces nababs assis sur leurs acquis sociaux et qui trouvent normal que les Français se saignent pour eux.

Nous voulons qu’ils montent au créneau avec nous, pour lutter contre les privilèges

 

C’est comme ça que nous pèserons sur les politiques :

 

► En nous unissant. Car le nombre FAIT la force. Et la force FAIT la victoire.

 

► Alors rallions-les à notre cause. Allons chercher les contribuables endormis.

 

Vous l’avez compris, ces deux actions sont une première étape. Un début.

 

Le timing est parfait : le gouvernement de Mr Macron tente, en ce moment même, une réforme de la Fonction Publique. C’est maintenant qu’il faut agir !

 

Nous avons besoin de votre soutien pour monter notre Appel à Contribution et notre campagne de ralliement des contribuables.

 

Et votre engagement, c’est notre légitimité car c’est grâce à vous, avec vous, et pour vous que les privilèges tomberont.

 

Alors s’il vous plaît, renvoyez-moi votre Appel à Contribution signé, accompagné de votre don le plus généreux possible pour financer notre « plan d’attaque » en cliquant ici.

 

Je déposerai votre Appel à Contribution en votre nom, avec ceux de tous les Contribuables Associés et ralliés, sur le bureau de Mme de MONTCHALIN, la ministre de la Transformation et de la Fonction publiques. Et lui demanderai de nous recevoir.

 

Eudes BAUFRETON

Directeur de Contribuables Associés

 

Faisons payer les Rentiers de la République ! Renvoyez vite votre carton d’action pour convaincre Mme de MONTCHALIN de prélever une contribution exceptionnelle de 16% sur les traitements des hauts fonctionnaires, éventuellement accompagné d’un don le plus généreux possible.

 

Rallions les Français à notre cause pour que notre action ciblée soit encore plus puissante. Rallions-les aujourd’hui ! Je vous l’ai dit : seul notre NOMBRE viendra à bout des privilèges.

 




 

  



12/08/2021
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